La lune dévorant la nuit
De son éclatante blancheur
Me rappelle mon coeur
Consumé par l'ennui
Les voix silencieuses
Qui hurlent l'espoir
N'apportent que déboires
Et chimères pernicieuses
Les nuages s'effacent
Comme le feu de mon âme
Qui seul se blâme
Du vide qui l'embrase